La raison du plus fort

Leïla retenait ses larmes. Elle avait envie de pleurer, de crier, de se défouler. Mais, cela montrerai sa faiblesse. Elle faillit tomber du lit, mis se rattrapa au denier moment. Elle était en proie une désastreuse détresse.
Nicolas s'assit à ses côtés, la regarda amoureusement, et la serra dans ses bras. Elle s'y réfugia sans contrainte.

" Je suis désolé. Vraiment désolé. Je ne sais pas ourquoi je me suis engager dans ces armées. Je ne sais pas pourquoi...
- Ne t'en fait pas, Nicolas. Je sais que tu n'y est pour rien. Sur le coup de la colère, moi assi, j'ai fait quelque chose contre ma volonté. Et maintenant, je réalise que je n'aurais jamais dû faire ça. En tout cas, je eux que tu saches que, même si j'aimais, j'aime, et je continuerais à aimer ton frère, je t'amerais toujours. Moinsqu'Hans, 'est sûr, mais je t'aimerais toujours... "

Leïla enfouit sa tête dans l'épaule de Nicolas et renifla pour ne pas pleurer. Elle était bien, calfeutrée dans cette épaule forte et dure. Elle faillit s'endormir, mais ne le fit pas. Elle rouvrit ses yeux, et regarda Nicolas. Une larme perlait au coin de son oeil. Elle se leva et partit vers la fenêtre. Nicolasn resta assit à la regarder.

Leïla regardait l'horizon. Elle voulait s'échapper. Elle se reourna vers Nicolas et lui dit :

" Laisse moi seule quelques minutes. Je voudrais réfléchir à quelque cose.
- D'accord. A pus tard. "

Nicolas se leva et partit. Leïla était seule dans la chambre. Elle s'assit sur sn lit et médta durant de longues heures.
Quelqu'un frappa à la orte. Elle se réveilla. Elle venait de remarquer qu'elle venait de s'endormir. Elle partit ouvrir. Une personne, petite sur pattes, et plutôt grosse etmalformée, était devantelle. Elle réprima un geste de dégoût.

" Le dîner est servi, my Lady.
- Ok. Il est-il ?
- Veez, suivez moi. "

Leïla suivt la personne dans les dédales des couloirs et aboutit à une pièce. C'était une grande pièce, sombre, cmme le reste du manoi, excepté sa chambre. Elle y entra et trouva Nicolas et " le Maître ", assit à une longue table d'ébène. Elle s'avança avec prudence, tout en trmblant. Elle s'assit en face de Nicolas.

( Je reprends enfin ma fanfic après un long moment d'absence... -_-' ^^)

Leïla tremblait beaucoup; elle le sut grâce au coup d'oeil furtif que lui lança Nicolas. Elle se prit les mains et lmes serra fortement. Le " Maître " allait parler.

" Alors, comme ça, Leïla, vous avez accepté de suivre votre cher " Nicolas " . Comme c'est gentil de votre part. J'aurai une petite mission à vous confier. On m'a dit que vous étiez doué pour combattre. J'ai donc l'immense honneur de vous annoncer que vous ferez partie de mon armée.
- Et si... Je refuse ?
- Alors, si vus refusez, vous mourrez. En revanche, si vous acceptez, vous devrez d'abord faire vos preuves en vous occupant des chevaux dans les écuries. Comrpris ?
- Vous êtes horrible...
- Ahahahah! Et, vous ne savez pas tout de moi... "

La porte s'ouvrit. Un serveur, vêtue de façon hétéroclite, entra, des assiettes à la main. Il en posa une devant Leïla, une devant le " Maître ", et une devant Nicolas.
Rongée par la faim, Leïla souleva la cloche de son assiette et enfourna dans sa bouche la nourriture.

Une fois le repas fini, elle se leva de table. Nicolas devait la conduire aux écuries, où elle allait commencer sa première journée de travail. Il la laissa à la porte. Elle avait peur, son coeur battai fortement dans sa poitrine. Voulant combattre sa peur, Leïla décida d'employer l'humour. Elle poussa la porte et dit d'un ton joyeux :

" Bonjour tout le monde! Alors, on le fait quand le barbecue ? "

Ellle observa toute les personnes lorsqu'une licorne et son cavalier fou à lier se ruèrent sur elle, ou plutôt dehors. Elle les regarda partir avant de continuer, toujours dans son envie de barbecue :

" Bon, bah, on le fait quand le barbecue ? "

Elle était déçue, mais à la fois amusée. La licorne semblait tellement pressée de sortir d'ici. Une voix hurla :

" Mais c'est pas vrai !!! Qui c'est qui m'a foutue une abrutie pareil !!! "

Des murmures s'élevèrent. Il s'appelait Iname. Iname lâcha les rênes du cheval pour se ruer sur la pauvre licorne qui semblait heureuse. Il réussit à l'attrapper.

" Bah, quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait ?
- Quant à toi ... "

Iname avait dégainé son épée. Leïla recula devant. Elle avait frôlé la mort plusieurs fois, mais, jamais d'aussi près.

" - Disons que tu as faillis laisser échapper une licorne qu'on a attrapé tant bien que mal, à grand renfort de biscuits. " dit une femme du doux nom d'Elanor